Le sexe post-partum

La plupart des professionnels de santé préconisent 6 semaines d’abstinence après l’accouchement avant de reprendre la joyeuse route du coït. Cette période est censée laisser le corps de la maman se remettre des séquelles physiques de l’accouchement, une période salvatrice en quelque sorte. Cependant, une chose est sûre, selon l’avis de jeunes mamans, bien que les expériences de chacune soient différentes les unes des autres, elles n’ont pas envie de refaire l’amour, pas tout de suite en tout cas. 9 mois de grossesse et accouchement pas toujours faciles, elles sont épuisées, physiquement, mais aussi mentalement.

Surtout maman et non amante

Chez celles qui ont eu une déchirure (donc des points de suture) et celles qui ont eu droit à la ventouse et aux forceps, physiquement, elles ne se sentent pas au top. Avec leur ventre tout mou ou leur corps encore dodu, certaines ne se trouvent pas du tout sexy, ce qui réduit considérablement leur libido. Les hormones aussi sont encore toutes bouleversées en cette période, ce qui n’arrange pas les choses. En tout cas, pratiquement toutes les mamans à qui on a posé des questions sur leur sexualité après l’accouchement affirment que le plus important pour elles, c’est leur bébé. Elles se sentent davantage mamans qu’amantes. Tout leur amour, toute leur affection se portent quasi exclusivement vers leur bébé, ce qui laisse peu de place au mari et au sexe.

Être performant

Les hommes supportent énormément de pression en matière de sexe. Il leur faut être performants pour être viril. Pour être sûr de passer un moment de sexe torride, il y a des bases à connaître. En premier lieu, ne jamais comparer deux femmes. Ce qui a marché avec l’une n’ira pas forcément à l’autre. Le plus gros challenge de l’homme en fait c’est d’apprendre à être à l’écoute de sa partenaire. Il est souvent tellement concentré sur sa performance, qu’il en oublie celle qu’il veut pourtant impressionner. Sur le plan physique, sachez, messieurs, que le corps de Vin Diesel n’est pas prisé par toutes les femmes. Ce qui importe c’est l’art d’employer le corps. Savoir ne pas trop peser sur sa partenaire quand on fait un peu plus de 90kg de muscles est très apprécié. De la même manière, pouvoir tenir la distance quand on a un corps fin et peu sculpté est très impressionnant.

Dépasser les complexes

Pour les dames, le challenge c’est de dépasser les complexes. Une fois la couche de vêtements protectrice enlevée, peu de femmes arrivent à être sûres d’elles-mêmes. Ce manque d’assurance se ressent pendant l’acte. Une femme qui n’est pas totalement à l’aise avec son corps a beaucoup de mal à se lâcher, et donc du mal à ressentir pleinement le plaisir. Le problème c’est que, souvent, être un bon coup correspond à la femme libérée, que l’homme a senti à fond dans leur union. Le meilleur coup d’un homme n’est pas forcément sa partenaire la plus canon. C’est plutôt celle avec qui il s’est senti en parfaite symbiose. Comme pour les femmes en fait.

Le Point G serait un organe masculin

D’expérience, les hommes savent que la zone située entre le scrotum et l’anus procure une source de plaisir pendant l’acte sexuel. Le point G se trouve alors dans cette partie du corps. Ce centre aurait une réceptivité nettement plus développée comparée au reste de l’organisme. Également appelé point P, il s’agit d’un endroit qui a un lien direct avec la prostate. Dans le vif de l’action, l’homme ou son partenaire sexuel peut ressentir une petite zone légèrement en relief qui sera particulièrement sensible au toucher.

Savoir stimuler ce centre de plaisir

Trouver le point G, c’est une chose. Pouvoir le stimuler en est une autre. Dans le cas où vous aimeriez tenter cette expérience, il faudra faire preuve de délicatesse. Bien que ce point soit très sensible, il vaut mieux y aller en douceur. Pour commencer, il suffit de l’effleurer pour avoir de l’effet. Au fil des stimulations, cette partie du corps réclamera davantage de contact. Certains hommes iront jusqu’à demander à ce que leur partenaire appuie fortement sur le point G.

Une notion qui ouvre encore la controverse

Chez la femme, le point G a été découvert depuis 1940. Pour l’homme, ce centre de plaisir est encore à explorer. En effet, certains scientifiques indiquent qu’il se trouve près de la surface. D’autres chercheurs situeraient davantage le point P en profondeur. Ils estiment que cette zone se trouve à au moins 7 cm derrière le rectum. Ainsi, ils recommandent une stimulation anale pour effectivement toucher au point P. C’est encore à approfondir…

L’asexualité n’est pas un choix

Pour ceux qui sont asexuels, ils disent que leur état ne résulte pas d’un choix délibéré. Ils pensent que, tout comme les homosexuels ne choisissent pas de l’être, eux non plus ne font pas le choix de l’asexualité. C’est en eux et ils l’acceptent, ils vivent avec et plutôt bien. Il est probable que des événements survenus durant leur vie embryonnaire qui y ont contribué ou encore des événements dans leur enfance. Mais ce ne sont que des supputations, impossible de trouver de vraies explications à ce propos. Toujours est-il que leurs hormones sexuelles n’agissent pas sur eux comme c’est le cas pour la majorité des hommes et des femmes. Pour tout dire, ces hormones n’agissent tout simplement pas.

Différents mais fiers

Les personnes asexuelles assument parfaitement leur état mais toujours confrontées à l’incompréhension du grand nombre. En effet, beaucoup de personnes n’admettent pas que l’on ne puisse ressentir des désirs sexuels, en fait, elles ne comprennent tout bonnement pas ce qu’est l’asexualité. C’est la raison pour laquelle les asexuels s’associent pour se faire connaître, ils mettent en place des manifestations pour mieux faire accepter leur différence. Ils militent pour leur cause et font tout pour se faire entendre et pour être reconnus comme des personnes tout à fait normales. Le fait de ne pas ressentir des besoins sexuels ne devrait pas, à leur avis, influencer la façon de les considérer.

Dans quel cas utiliser le Vitaros ?

Il s’agit d’un produit pour traiter l’impuissance sexuelle. En d’autres termes, ce médicament permet d’avoir et de maintenir une érection. Il est remboursé par la Sécurité Sociale sous certaines conditions. Les patients souffrant de paralysie pourront par exemple en bénéficier. Ceux qui vivent avec un traumatisme au niveau du bassin pourront également être pris en charge par l’assurance maladie s’ils prennent le Vitaros. Les séquelles dues à la chirurgie qui touchent à la fonction érectile devront aussi être traitées avec ce médicament.

L’utilisation de ce produit

Le Vitaros est à base d’alprostadil. 100 mg de crème contient autour de 300 µg de cet agent actif. Le produit sera à appliquer directement sur la pointe du sexe masculin, à raison de 2 à 3 utilisations par semaine. Pour les hommes non circoncis, il faudra penser à décalotter pour bien atteindre le méat urétral. Un contenant à dose unique permet d’avoir la bonne quantité à utiliser. L’alprostadil agit entre 5 et 30 minutes qui suivent l’application. Il est important de se nettoyer avant d’avoir un rapport sexuel.

Quelques contre-indications pour le médicament

Les soucis cardio-vasculaires constituent des contre-indications pour les produits contre l’impuissance. Les signes de thrombose veineuse doivent être signalés au médecin. Ce dernier devrait aussi être attentif en cas de soupçon de déformation anatomique du sexe ou d’une malformation. Les maladies telles que la drépanocytose, la balanite (infection) et d’autres pathologies touchant de près ou de loin la verge doivent être prises en compte. Les personnes ayant des antécédents de tension artérielle irrégulière doivent également faire attention.